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BNVLLC

by Bienveillance

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1.
Prelude 02:28
2.
Dans les enfers comme Travis Bickle, Pour moi la terre n'est pas ronde c'est plutôt un bagel, Elle est trouée comme vos âmes qui m'écœurent. Noirceur dans les cœurs, du poison j'suis qu'un testeur. Rime infecte comme le diable en guise d'inspecteur, Plus rien les rapproche du bien, cherche pas un vecteur. J'suis l'insecte qui ne becte que des miettes. J'me perds, j'suis comme un court-circuit sur un pacemaker. J'suis pavé de bonnes intentions comme chemin d'Saint-Pierre, Ici l'amour est roi donc je suis qu'un prince dead. Tu comprends pas mes profondeurs même après 15 textes. J'ai appris à m'passer d'avoir maintenant j'me passe d'être. J'ai un M sur le front et des blessures de monstres. J'tombe, mais j'compte bien profiter du rebond. Prends garde, plus d'150 bêtes dans l'pokedex, J'suis dark comme quand noir et rêve corrélèrent. Tête-à-tête de rois sans tête, vous m’verrez jamais à vos Faites la guerre, moi je me contenterai de kiffer Cette musique m’entête, j’tiens pas la chandelle J’me sens toujours moins à l’aise dans le nombre qu’en petit comité. Tant que les armes continuent de remplir vos cœurs vides de mascus blessés, Allez-y continuez de vous fatiguer, pas la peine de m’appeler, pour la lutte, ça sonnera occupé. Ma ligne est sûre, elle est tracée dans le sol et y a pas moyen de m’aligner sur mes sutures mes plaies je le fais sans formol est la nostal’j’irai de l’avant-garde la tête froide et puis Merde à vos pairs et leurs fantasmes de guerre. Si nos vies ressemblent de plus en plus à nos cauchemars, c’est ptêtre que dans l’fond on cherche la bagarre aux loups, face à vous, petit Pierre connaît l’histoire. C’est pas « Martine à la foire aux personnalités, choisit parmi les modèles qu’on veut lui imposer » Non ! J’suis pas le bourreau testostéroné, ni la victime qui se laisse mater. J’suis l’entre-deux que vous refusez et finira par vous remplacer ! L'amour comme prix à payer, quand on fait qu'vivre à errer, écoute le chant de vie de formidables minables ailés. On nous à pris la gaieté, il reste nos rimes à sceller, bien-sûr qu'on trime mais on vibre quand on s'prive d'arrêter. Venu par les cimes, perdu dans la quintessence. Tenu la guigne, maintenu par la bienveillance. Hères des limbes imbibés, nimbés d'la lueur d'leurs LCD. Leurs idiomes sonnent leur perte, leur dialectique leur agonie, Indolence, neurasthénie, j'disserte face à leurs inepties : Bastringue comme vocable de baltringues incurables. Rongés de médiocrité pathologique, Et d’infructuosité pathogénique, J'veille à ostraciser ces erratiques, ces apathiques. Humano déficients L’œil humide, les dents cassées, Paranos indécents Sous acide, la peau trouée. Infructueux et stériles seront les premiers sur la liste, La fosse commune déborde, trop de taf pour les légistes. Roussis par la sentence, Occis par le bon sens, Expiés de leur subsistance Par leur inhérente impotence.
3.
XXIII 04:07
Enfants de salauds bien élevés aux grands qui s'acharnent d'amour, Qui emboitent le pas vers l'précipice sans détours. Au seuil du fornix, qu'on vienne m'arracher à mon hôte. Fallait penser à Manix, pas vous prendre pour des argonautes. Lové comme un hélix on vient me cueillir à marée -haute Enrôlé dans cette rixe qui n'est pas la mienne, à qui la faute ? Barricadé dans ma forteresse rubescente, Je vois ce monde depuis une meurtrière béante. Votre geôle est à l'air libre, la mienne amarante, A cette route tracée droit dans le mur j'aurais préféré la tangente, L'IVG à cette aliénation en viager. Exproprié, expatrié dans ce zoo de demeurés. Par delà la herse se referment des étaux d'acier. Crocs gris sur ma fontanelle meurtrie, Un pressoir chromé m'extirpe de mon baptistère. Comme j'étais mieux dans la forge en réclusion placentaire. Ça balance des phases plus ou moins rances, Mélange de croyances occultes et de symboliques vides de sens. De leur côté, les chiens de gardes font leur travail. C’est bien parti en roue -libre, demande à Marty Macht Frei. Le savoir est allé prendre sa retraite en Thaïlande, Il restera plus que la logorrhée quand on va disperser ses cendres. À la mémoire de nos cerveaux incapables de faire le tri entre une mauvaise blague du Point et une mauvaise blague du Gorafi. C’est clair que c’est parti en vrille, Vu qu’on croit n’importe qui, les moins malins se mettent à enfler des chevilles. C’est pas compliqué de se sentir au dessus du panier quand on assiste tous les jours au couronnement de la médiocrité mais merde… C’est dire à quel point on est tombés bas, En termes de compassion, mon ratio humains/animaux a presque atteint le niveau d’Ace Ventura. Bienveillance, en cadence, parfaite bande-son pour tes errances Bienveillance, sans conscience, n’est que gaspillage de substance Tu veux du 23 ? Tu veux du triangle ? T'as peur des chemtrails quand ils font la vidange ? Tu veux être proche de l'autre mais t'sais pas prendre de distance Ni de recul, au fond tu restes esclaves des finances. Tu parles et t'aimes l'argent, vive l'or qui est le silence. T'as cru qu't'étais intelligent parce que t'as une licence ? Ceux qui ont le guidon, sont pas ceux qu'ont la guidance. Mets-leurs un refrain pété et c'est sûr qu'y en a qui dansent ! Ouais ... Ouais c'est l'escalade de rage et j'vois que des malades me parlent de ces dérapages de star. Ça parle des croisades et des ravages de Rothschild, De tétragrammes, l'homme est la métastase cosmique. Des potaches dans le postiche, aux idées courtes comme un post-it, beaucoup d'Jar Jar, trop peu de Qui- Gon Jinn. La menace n'est plus fantôme, c'est encore pire Tu croyais avoir tout capté, écoute les morts rire.
4.
C’est pas une bouche, mais un cercueil, un bouge dans l'quel tu t'es enfourné ; Les voyants au rouge, les deux mains sur ton vouge dans l’quel tu t'es fourvoyé. Fer de lance chauffé à blanc, vermillon comme le sang, des sirènes ou du cygne t'as eu le droit à ton chant. Élevé au giron de Chiron, l'estomac dans les talons, la dalle d'aller au charbon. De Troie t'étais le fleuron, cupidon n’a dégainé que sa faucille, Fossoyeur au talent d'Achille, excavateur d’Amazones juste bon à user sa drille. Tu t'retrouves à manier la pelle, Plutôt qu'à en rouler, des mécaniques, t’as coulé ta bielle. Pas de dentelles, pas d’autel, juste Hadès pour tenir la chandelle. Un duel en guise d’étincelle. Le priape mis en linceul souille sa nécropole. La mentule mise sous suaire batifole. La petite mort fixée au formol. Les thanato réclament la camisole. L’exhumeur hellénique érige le lingam tombal. En cette crypte la carline est plus maquerelle que vestale, Fardée comme Arielle Dombasle. Pioche ensevelie, sarcophage empourpré. Ostium vers l'au-delà, tombeau tapissé. Caveau carmin, mausolée saccagé. Stèle turgescente, hypogée déflorée. Râles et oraisons unis dans l'effort. Ton désir: l'épitaphe gravé à même ton corps. Au stupre mis en bière, La dépouille mise en cloque. Savant lessivé je n'crois qu'en mes idées, j'ai créé des monstres et des nombres d'épidémies. En fait l'amour et les fils sont mes pires ennemis. Ils croient en moi juste car un jour j'ai pris des risques. Donné vie a des succubes et des démons, surtout ne dîtes pas mon prénom, Ils marchent dans mon ombre et c'est très con, C'est l'amour du père face a la raison. Très haut dans un préau, moi j'ai baisé terre mère. Créer un fléau ils dansent en ternaire, c'est beau ils m'appellent l'éternel. J'me sens faible (passe-moi une poche de sang) Mais royal comme un aigle, Quand on fait l'amour dans les règles, De l'art de tirer la couverture à Soixante décennies, la mort m'en apprend encore sur la vie D'Brian dans la cuisine, S'fait une infu d'cyprine et l'instru dégouline. Renaud est morte mais Renaud respire encore, pire encore c'est un vampire. Quel coup du sort, ça s'trouve c'est mon creathor Et à traverser la rue sans r'garder j'finirai ptêtre à la morgue. En attendant j'joue de l'orgue, comme un barbare, j'ris et renvoie avec brio les remords dans les cordes. Des triolets triés au volet c'est ça que tu veux ? Bois ta pinte de lait, j'fais des quintolets si j'veux. Quoi ? Tu t'sens rabaissé ? Tu t'laisses impressionner par un qui sait compter... Arrête de pigner, va plutôt taffer à guérir ta blessure de rejet ! J'ai le goût de l'effort dans le fond de la poche. J'ai l'odeur de sa fleure dans le fond de la gorge. J'ai 3 balles et 2 chèques en blanc, J'arrose à bout portant, T'inquiète pas j'tire à blanc. Nan ! Depuis que j’ai touché ce cadavre, j’suis plus le même… J’ai vu qu’rien ne se passe quand la vie s’achève… La mort est banale, le monde, ses problèmes… Je vous ai tous vu enterrer vos rêves… J’ai plus envie d’faire des efforts, j’ai hâte de rencontrer la mort Pour lui dire comme je vous abhorre J'veux plus vivre mais j'peux pas mourir.
5.
Sur Le Fil 02:14
Si pour nous le temps est compté, laisse tomber tu ferais mieux d'estomper Le nombre de combles que ta volonté te permet d'faire tomber. J'vais de la cave au comble tout en pensant à la couleur de ma tombe, Egalement à péter ton cerveau comme une bombe. C'est vrai l'ambiance me plombe mais j'suis pas de ceux qui pompent, Te demande pas pourquoi quand on m'propose la tise j'arrive en trombe. Dehors l'orage gronde donc je sors et traite comme une ombre. Pas d'onde ne passe donc bien-sûr personne ne me sonde. J’ai soif d’absolu, tu peux t’carrer ta teille de vodka dans l’cul. Quand j’égare mes culs de bouteille, j’marche et rappe comme si t’avais trop bu. J’bicrave pas mais tout ce qui est vert, j’le fume, Le marteau ou l’enclume, le masque et la plume dans l’fut d’chêne Sans gène, ni entrave, j’entrave pas une et j’enchaîne les bévues comme un keuf en gardav’. Comme « jamais 2 sans 3 », comme un lapin sous datura-cell-ulaire-de rien à foutre-le bordel de Pataya. J'suis une sorcière dans l'bûcher, un inconnu dans de mauvaises embuches, Un renard débusqué en train d'les esquiver en ruse. Mon calvaire est mérité en plus, ma haine j'l'ai hérité dans l'bus, j'te jure moi je veux étriper tant d'rustres ! Agent pathogène, grave vos stèles donc passe l'oseille. Moi j'veux ma place au ciel, pas d'problème mais que faire quand ils cassent nos rêves ? J'vais pas leur dire merci, j'suis pris dans l'inertie, face à tant d'inepties. Ce stemsy me bute, j'suis aigri j'te jure donc je gratte 16 lignes de plus, et me dis qu'j'mérite plus.
6.
Mère ronde nourrice comme la coque d'un navire Où se perdent les rivages de mon corps. Pas besoin des praxis, des coups d'estoc de vos sbires J'me soulage déjà sans effort. De mes entrailles, de ma charpente, je ne sais qui me porte. À la moindre faille, l'odeur de la fiente exhale de ma boîte de Pandore. Presque en dehors contre courants et marées, torrent scellé Dans ma propre suie je suis enfermé. Pas d'avarie pour la couleur réglisse, je suis le calice de vos sévices, Je tapisse ma cellule, mon pédiluve, lové dans cet orifice. Quand coulera l'airain, ce purin qui m'étreint Sonnera le tocsin, auspice de mon déclin. Poitrail de bronze, cloué, dans ta nuit soulage ma pudeur. Éponge à selles ce tonneau est un écrin d'une douce tiédeur. Déversoir à pétrole, mon sépulcre sans bonde dans la noirceur. Une nouvelle ossature, une flaque opaque dans mon incubateur. Voyageur immobile pris dans les mâchoires du temps, Embaumé d'onction brune dans mon cocon de jais, j'suis imbibé jusqu'au cou de sédiments. J'suis gavé au viatique, pas connaissance d’la famine ma parturition est prophétique, un reliquaire à trichines, d'abdomen en custode, du couloir de la mort aux latrines. Skapheusis, augures fortunes de l'Haruspice. Skapheusis, fraquer dans mes immondices. Skapheusis, pot-pourri, remugles ressurgissent. Skapheusis, la vermine a fait son office. C’est pas d’l’acupuncture ! Une aiguille, deux aiguilles… C’est pas d’l’acupuncture ! Trois aiguilles, quatre aiguilles… C’est pas d’l’acupuncture ! Cinq aiguilles, six aiguilles… C’est pas d’l’acupuncture ! Sept aiguilles, je vacille… Féticheur voudrait ma perte, merde, comment éclipser l'averse, j'perds Tous mes repères et je traîne près d'la tanière dans les enfers où crèche Cerbère. J'ai la peau rêche et je baise l'ère, j'ai ni contrôle et ni sesterce, Où est mon dôme un abîme dans ma paume oui je trime et ces clones me laissent faire. Piège ... Tel poisson dans l'mazout, je sais qu'mon âme est dans l'bayou, Aiguilles me percent de partout, victime occulte d'un mage fou, arrête où j'casse tout ! J'suis dans marmite de Gargamel, oui il m'agite et je parle avec des djnouns Et puis c'monde me dégoûte car quand je les écoute je rêve de crack, sa mère ! J'suis un poison car je baigne dedans, ma bulle est pleine de sang, La coupe est pleine et ma raison est vaine, ah oui ils se déchaînent car mes bourreaux prennent le temps. Ma moelle épinière est un terrain d'jeu, j'vois étoile filante pourquoi faire un vœux ? C'est pas ma faute si je m'esquinte, un démon pyromane veut juste faire un feu ... 20 ans d'ma vie pour lui 20 séances… Fruit d'un mauvais génie j'crois plus en bienveillance.
7.
Pandemonium 04:52
Maudit comme un prophète, apocalypse comme la comète, Poto j'arrive et j'me projette, comme de l'acide sur ta grosse tête, Philosophie obsolète, et pour mon âme y'a pas d'prothèse, est- ce moi ou eux le problème ? J'suis un homme averti tu connais l'proverbe. Heureusement qu'mes loups me protègent, j'fais partie des bons pas des mauvais, Tous ces mangemortsmange morts je les connais, ils veulent nous voir grailler des croquettes. Okay j'lâche un goddamn, et continue dans la pyramide, J'crois qu'je suis mort sans la dynamique, Je vais tout droit comme le Titanic. Passe-moi la dynamite, que j'rende visite à deux trois élites tyranniques. J'me sens comme Orlando Bloom dans la piraterie, J'comprends pas Lennon quand il écrit ‘imagine’. J'roule une fusée et puis fuis la vie, J'aimerais parler du bonheur au présent de l'indicatif, Mais je suis seul avec mes épreuves mes cicatrices. Magie blanche régule tachycardie, fuck leurs manigances. Là j'médite ne brise pas l'silence, Une améthyste et mon âme qui danse. Pas là pour trop niaiser, par la lumière j'reste obsédé. Je ne fais qu'me protéger, en exécutant ce procédé. En quête de lumière, tous ces ilotes veulent partager sang et chair. Plus cendrier que poudrière, mon armada n'est que mâchefer. Plus délétère que mes confrères, laisse ton portefeuille au vestiaire. Missionnaire des volitions stellaires, toutes ces plaies j'en ai fait l'inventaire. Phare dans la houle de leurs vicissitudes. Prosélytes de mon dessein briguant la plénitude. Abhorrez les infamies que j'arbore en certitudes. Aucun de mes fidèles ne subit sa servitude. Pas de livre d'or, vade-mecum de vos soupirs, Pas de testament, un peu de soda pour en finir. Perché dans l'arbre de vie, je remodèle vos ondes alpha. On s'extirpera du Kali-Yuga par le sarin ou les AK. Face à l'apocalypse, une seule issue de secours, Embrassez l'Armageddon sans trompette ni tambour. Franchir le Rubicon pour ne pas subir l'eschaton, La Porte Du Paradis ne s'ouvre pas en gobant un Gaviscon. Le Mont Carmel est le nouveau Sinaï, De mon sérail j'encaisserai la mitraille Avant que ma gueusaille ne défaille, direction le foirail. A vos 40 jours de jeûne j'ai 51 jours de bataille. Chaque Homme en moins est une victoire, Ma paroisse leur préfère les moutons noirs. « Aime Dieu et fait ce que tu veux » Osho !
8.
Flocon 02:32
9.
Mr & Mme 06:49
Qu’est-ce qu’on se marre… Hein !? À faire chialer les weirdos… Une goutte de plus dans un verre d’eau. Salée… salée… qu’avait d’jà du mal à passer la pilule, Coincée en travers de la trachée. Trash est le nombre, le tracé d’son ombre le précède à chaque nouvelle scène, Les stigmates d’hier lui assènent, percent son crâne comme un larsen : « T’as pas ta place ici, arrête tes facéties. Tu croyais vraiment pouvoir t’faire des amis ? » Ajoute à ça l’émotionnel en dents de scie, toi-même tu sais comment ça finit. Putain j’ai passé ma scolarité à collectionner les confessions d’pulsions suicidaires des inadaptés que tu créais. Rien que tu jactes, rien que tu t’amuses, rien que tu fermes ta gueule quand tu les vois s’faire abuser. La structure est analysée, c’est pas le syndrome du preux chevalier, j’essaie juste d’expliquer comment tout ça va terminer… J'enlève mon masque dans le bal, mon teint il vire dans le pâle, lacunes sociales, tu crois que l'argent c'est le Graal, nous on rigole quand on l'claque. J'dessine un cercle dans le noir, bougie fait fumée opaque, crois pas qu'j'en appelle au mal, j'veux juste protéger nos braves, donne-moi le sceptre et le palais de marbre. Ricanement si l'agent tire à blanc je veux sortir à temps vers le firmament je vous trouve hilarants, trouvez-moi grimaçant je reste droit comme l'a dit maman et me tire avant le pire attends... Mon passage sera bref, comme les délais de mon indulgence vaine. Tu m'as pris pour un clebs, mais en face toi tu m'assures l'inverse. Je ne cède plus au stress, tu veux smoke moi je m'allume un pers' ! Si j'te dis de la merde considère que ça c'est juste un test. J'suis dans le néant, mais j'suis bienséant, larmes en océan, l'univers s'étend, des cons pédants, incompétents, fiction t'aidant, alors maintenant c'est qui les méchants ? On est l'addition de gravité et addictions s'enfouir dans les cavités c'est la mission, salé sera l'addition des canidés qu'nous saisissons, regarde les larves sales devenir des papillons. Monsieur & Madame « on rigole » ont une fille, Sarah ! Monsieur & Madame « on rigole » ont perdu leur fille… T'mets pas le doigt dans l'œil. Si leurs iris sont tachetés, Leurs nuques plates et leurs paluches écimées, C'est seulement ta morgue leur écueil, Pas c'chiffre en trop dont ils ont fait le deuil. Victimes de l'éloquence de la cellule capitonnée, Bourreaux de l'indigence à l'orgueil métastasé. Affublés de chiffons rouges protrus et balbutiants. Grégarisme et survivance. Leitmotiv des ingénus contre les hures défrichées. Qui n'ont plus qu'la chimio comme valence. Besogne et victuailles à l'antienne Pérennisent les succédanés. Vingt-et-une raisons de substituer La normalité oncogène, la phase terminale d'oncle Eugène. Au zénith du huitième jour, Les meutes grondent et engloutissent L’apex devenu palliatif, Sapiens fongible sans appendice. Trinité et Genèse en émoi, Vaccinées du genre humain.

about

First self-titled album of french rap trio Bienveillance.

credits

released May 4, 2019

Deelay. vocals / lyrics
STRWHR. productions / vocals / lyrics
Mainmorte. productions / vocals / lyrics / visuals
Alex Jadi. live drums on "Bourreau Des Corps", "Pandemonium", "Flocon", "Mr & Mme"
DJ Adjectif. cuts on "Prelude"

Cyrille Gachet. mix/mastering @ Dick Doom Studio - Bordeaux
Anter0grade visuals: mrbjm.tumblr.com

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about

Bienveillance Rennes, France

In late 2017 STRWHR, Mainmorte & Deelay, french rappers & producers joined their forces, influences to create a brand new hip-hop project, noisy and abrasive, yet melodic and epic.

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